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Sujet: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Ven 1 Fév - 21:48
Ce midi, j’allais vivre l’un des pires calvaires de toute ma vie : le repas en famille du dimanche midi. Le truc qui ne servait absolument à rien, mais que mes parents adoraient faire pour continuer à s’aveugler de façon excellente sur la famille qu’on formait. Les vieux et le marmot ne voyaient vraiment pas à quel point tout ça n’était qu’une mascarade. On était vraiment au plus bas et on continuait à creuser encore quelque fois que le fond ne soit pas vraiment le fond. Je trouvais ça pathétique. Pourtant, je ne faisais pas vraiment d’effort en ce qui concernait les repas. J’étais surement le plus blasé de nous tous, quoi qu’avec Jillian on pouvait facilement avoir le premier prix, mais bon, ça devait bien se voir, non ? Non ! Nos parents étaient très bêtes de toute façon.
Vêtu d’un t-shirt noir et d’un simple jean, je quittais ma maison pour grimper en voiture et aller chez les parents. Ca allait être fun, je le sentais déjà. Franchement, j’aurais préféré passer mon dimanche à dormir plutôt que d’aller là-bas… Ou regarder Amour, Gloire & Beauté ! Rien ne pouvait être pire que cette journée. Heureusement que ce n’était pas tous les week-ends non plus. D’ailleurs, ma mère avait osé me dire qu’il était peut-être temps qu’on fasse les repas chez moi un de ces quatre. Beh voyons ! Et puis quoi, encore ?! Ce n’était pas demain la veille que ça allait arriver parce qu’il était hors de question que je les laisse venir. Quand ils passaient, comme ça, juste pour quelques minutes, ça allait, mais un repas… Faut pas rêver non plus !
Je roulais le plus tranquillement possible, sans me presser. Ce n’était pas parce que j’arriverais vite que j’allais repartir vite. Au contraire. Par contre, plus tard j’arrivais, plus tôt j’allais partir ! Même si c’était quelques minutes de retard, c’était déjà ça de pris. Une minute, c’était déjà énorme et très long donc bon. Quand j’arrivais tranquillement jusqu’à la maison « familiale », je remarquais que Jillian était déjà arrivée. Il y avait sa voiture donc c’était qu’elle était forcément là. Je me garais et sortis de la voiture en marchant en direction de la porte. Je marchais avec un air de bagnard qu’on envoyait en prison ou bien sur l’échafaud ! Je n’avais pas envie… Si seulement je pouvais prétexter que j’étais malade… J’aurais dû y penser plus tôt. Il fallait que je le note pour le prochain repas de famille !
Je toquais à la porte et ce fut Killian qui ouvrit la porte et j’eus le droit à ce « frérot » qui me donnait envie de le frapper. Mais pour faire bonne figure, je lui offris mon meilleur sourire hypocrite et entrais dans la maison après lui avoir dit bonjour de la façon dont j’aimerai qu’il me dise bonjour à son tour et qu’il oublie une bonne fois pour toute son frérot à la con ! Graaaah ce qu’il me gavait le morveux ! Bref, après ma mère et le beau-père, j’avais fait le tour et j’avais déjà envie de faire un magnifique demi-tour pour leur dire au revoir. Et rentrer chez moi. Mon dieu, ça aurait été le pied ! Enfin bon… Aller Ethan on peut survivre à tout ça ! Je rentrais un peu plus dans la maison pour trouver Jillian d’affalée sur le canapé. J’allais m’asseoir à côté d’elle (enfin, je me laissais surtout tomber sur le canapé qu’autre chose).
- C’est parti pour une journée de merde, petit sœur ! fis-je.
Tous les deux, on détestait ce genre de week-end. Comme si on n’avait que ça à faire… C’était d’un pitoyable ! Ma mère me demanda si je voulais boire quelque chose et je lui répondis que le champagne irait très bien. J’aurais bien aimé quelque chose de beaucoup plus fort, mais si je me retrouvais bourré, j’allais encore entendre plus parlé du pays qu’autre chose. Discrètement, je me penchais vers Jillian et lui murmurais :
- Toujours cette folle envie de ne pas être consentante ?
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Mer 13 Fév - 10:45
on paternel m'appela. Il voulait que je sois présente au repas familiale. je grogne, j'ai la flemme, j'ai aps envie. Il me réclame, il veut une famille, une normalité et que jfoute pas la merde. Je soupire et lui dis clairement ce que je pensais de tout ça, malgré tout il insiste. Je soupire encore et lui répond finalement que je viendrais à son putain de repas qui ne servait à rien. Je raccroche. Bordel, j'ai trop la flemme. Je me résigne à me lever pour me foutre sous la flotte ensuite, je me sèche, corps et cheveux avant de finalement m'habiller. Un jean, un débardeur, un gilet asymétrique et hop j'enfourche mes talons. J'étais simple, c'était ce que mon vieux voulait, soit s'il peut me foutre la paix. Je pris mes clés, mon sac à main et hop direction la maison familiale dans laquelle j'avais vécue une enfance merdique, sauf mes plans avec Ethan, pour finir par la quitter. Je roule tranquillement, me gare près de cette foutue barraque et sors. Je sonne à la porte et sourit hypocritement à la belle-mère qui me menaça de pas tout foutre en l'air
« Ok la chieuse si tu veux un repas "normale" fous moi la paix dès le début ok ? »
Elle ferme sa gueule. Ya intérêt pétasse ! Je rentre, salut le littlle bro' et salue ensuite mon vieux avant de m'installer dans le canapé. Ma belle-doche regarda mes pompes avec envies. Et ouais soit jalouse la moche tu peux pas te permettre de te payer la beauté, moi si, en plus j'suis bonne contrairement à toi. Bref, je m'emmerde, j'attends Ethan avec impatience. J'ai juste une envie c'est de me barrer. Le little bro me regarda j'arque mon sourcil il veut quoi celui-là à part bander sur mon corps ? Fuck pour que jte baise ! C'est alors qu'on sonne à la porte
« Vas ouvrir trou du cul au lieu de me mater comme un clébar ! »
Killian me regarda quelque peut choqué avant d'obéir, c'est bien petit con. Obéit ! Et puis je vois Ethan, d'un coup ma libido monte au taquet, mais je ne montre que dalle. La famille "normale" commença. je ne relevais aucunement sa remarque, à part un regard qui en disait juste très long. La belle-mère demanda ce que l'on voulait boire. Tout comme Ethan, je réclamais du champagne. Une fois seuls, Ethan me glissa quelque chose à l'oreille. Je secoue la tête
« Là, tu vois, j'ai juste envie de me barrer chez moi que de sentir ton asticot dans mon vagin »
Je le regarde. Sauf que j'avais vraiment envie de lui mais je voulais le provoquer. Le vieux, la vieille et le jeune con vinrent avec nous, nous discutions rapidement de tout et de rien, je jouais la grande soeur du petit Killian, inquiète de ses cours, alors que je n'en avais rien à foutre. Finalement, c'est la voix de la belle-mère qui nous incita à venir à table. Je me lève et marche docilement vers ma place et vit Ethan à côté de moi. Je le regarde ... il a l'air de préparer un coup de pute et je me demande bien quoi. Finalement, tout le monde se sert
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Sam 2 Mar - 16:39
Cette journée promettait d’être très longue. Du coup, il allait falloir que je trouve un truc pour l’écourter le plus rapidement possible parce que je n’allais pas tenir très longtemps comme ça. Mais pour ça, il fallait trouver une excellente idée, sauf que pour l’instant, je n’avais rien en tête. Ca allait venir, je le savais. Les bonnes idées, j’en avais toujours donc j’allais bien trouver à un moment ou un autre, mais en attendant, on allait être obligé de supporter cette mascarade avec la frangine. Encore, il n’y aurait que les parents, ça irait, mais on avait aussi le marmot. Vous savez, le gamin qui ne servait à rien et qui essayait de se donner un genre. Bref, le gros boulet de la famille que j’avais envie de frapper à chaque fois qu’il ouvrait la bouche. Jill m’arracha un léger rire quand elle répliqua. Ben voyons !
- Roh tout de suite, répondis-je. Puis la dernière fois c’était toi qui en redemandais si ma mémoire est bonne. Donc, on parie ?
Et ma mémoire était toujours bonne. Enfin bon, moi aussi je préférais être chez moi qu’ici. En fait, n’importe où c’était mieux qu’ici. Bref, emmerder Jill était devenu une véritable activité dans lequel j’excellais. L’apéro fut plutôt rapide et en fait tant mieux parce que ça voulait dire qu’on passerait plus rapidement à table et plus rapidement je pourrais me casser chez moi. Pour faire quoi ? Je n’en savais strictement rien, mais tout pouvait mieux qu’un repas en ‘famille’. C’était affligeant de voir que personne ne se rendait compte qu’on n’en avait rien à faire de ces repas. Ma mère me posa un petit nombre de question sur ce que je devenais et je répondis aussi évasivement que possible parce que concrètement, qu’est-ce que ça pouvait lui faire ce que je devenais ?
La relation que j’avais avec ma mère était devenue électrique depuis qu’elle s’était mise en couple avec le père de Jill. Surtout si peu de temps après la mort de papa. En fait, il n’y avait que lui qui était quelqu’un de bien entre les deux. Ca je m’en étais bien rendu compte maintenant. Si elle pensait que je ne me doutais de rien, elle se trompait lourdement. Un jour faudrait peut-être que je lui dise… Ouais un jour, peut-être. Le jour où ça me saoulerait et que je l’enverrais chier. Mais pour le moment, il n’y avait rien de tout ça donc, j’allais rester un gentil garçon au maximum malgré les nombreux regards noirs que je lançais à mon frère quand il tentait encore son « frangin ». Quand est-ce qu’il pigerait que j’étais pas son frangin ?! Le jour où ses neurones se développeraient. C'est-à-dire dans… Bon y’a plus qu’à le tuer…
Le feu vert pour aller à table fut donné par ma mère qui nous désigna la grande table de la salle à manger. Je me levais, abandonnant ma coupe de champagne sur la table basse du salon. Je m’installais à table à côté de Jill. Je la sentis me fixer et je lui adressais un sourire amusé. Maintenant, elle se demandait ce que je préparais. Bah oui, je préparais quelque chose. Je n’avais toujours pas eu d’idée pour rentrer chez moi plus rapidement, mais j’avais une idée pour faire craquer Jill. Bizarrement, ces idées là, c’était limite s’il en pleuvait. En même temps, il n’y avait pas trop de mal parce que j’avais des années d’expérience là-dedans. Du coup, c’était presque inné chez moi.
L’entrée arriva et nous commençâmes à nous servir. Je me servis et passais le saladier à ma chère petite sœur. Quand elle tendit les mains pour le prendre, je frôlais sa peau de mes doigts avec un léger sourire. Plan mis en marche !
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Jeu 11 Avr - 14:22
e regardais mon frère, enfin demi, enfin on s’en fou, bref. Sa remarque me fait lever mon sourcil gauche, j’avais vraiment pas envie de faire quoi que se soit avec ce con. Préférant ne rien dire, j’emboite le pas de la belle doche et de l’autre demeuré de petit frère pour m’installer. Je voulais être loin de tous ces abrutis, être à côté d’Ethan ne me dérange pas le moins du monde. Au contraire je préfère avoir ce vicieux à mes côtés que les autres membres de la famille. Je regardais les parents qui se lançaient des regards amoureux … je peux gerber dans un verre ? Non mais sérieux ! C’est totalement à vomir ce délire. Je soupire sans trop dire quoi que se soit, préférant me taire plutôt que de balancer une vacherie et recevoir les foudres du vieux. On commence donc par ce servir et là, ce con d’Ethan fit un truc que j’adore faire : me toucher. Mon regard le fusille sur place, bon sang pas ici ! Je secoue ma tête et commence aussi à me servir, si je pouvais planter la main ou la jambe d’Ethan, je le ferais bien tiens. Une conversation se fait, je n’entends rien, préférant manger sans trop dire quoi que se soit, observant Ethan du coin de l’œil, je finis par me plier et le toucher à mon tour. Prétextant d’avoir fait tomber ma serviette je la reprend et au passage, lui caresse sauvagement la cuisse pour m’arrêter près de sa partie intime sous son pantalon. Mon vieux me regarde, sans trop avoir compris quoi que se soit. Il me balance un : « et toi ? Toujours serveuse ? »
« Ouais … et alors ? »
Réplique-je sèchement. Il haussa les épaules, disant que je pourrais trouver autre chose. Je plonge mon regard dans le sien, pose brutalement ma main droite sur la table et arque un sourcil. Ma belle doche me demande de me calmer, je lui réplique d’un fuck
« J’te signale juste que c’est ta faute si j’suis revenue ok ? Je me demande même pourquoi j’ai eu cette connerie d’abandonner mes études pour ta pomme. Jte conseille de te la fermer avant de te tourner vers moi et de m’attaquer pour dire d’la merde »
Ça c’est dit ! SUIVANT ! Ma belle mère veut répliquer un truc avec son air de grosse salope, mon père l’arrête d’un geste. Il me regarde et balance un autre truc qui ne m’était pas destiné. Ouais mec t’as raison, fermes donc ta grosse gueule avant de te la ramener avec des conneries. Le jour où il saura que je suis une prostituée, je pense que ça va chier, mais je m’en fou. En attendant, je regarde Ethan, d’un regard, on pense la même chose : se barrer d’ici. J’apprête par ouvrir ma bouche quand l’autre frangin se met à me faire des avances sexuelles. Ce crétin venait de me toucher la jambe BAM je lui donne un coup de pied dans le tibia, il s’excuse direct. Ya intérêt gros con ! Je soupire, sourcils toujours froncés, je continue à manger, bordel, vivement que je me barre d’ici !
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Ven 19 Avr - 14:12
Il n’y avait vraiment rien d’amusant dans les repas de famille. C’était même tout le contraire, on se faisait chier comme c’était pas permis ! Mais bon, est-ce qu’on avait le choix ? Oui, dans un sens, mais nos parents avaient vraiment insisté pour qu’on mange tous ensemble au moins ce midi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais continué à dire que non, mais quand ma mère avait commencé à me harceler au téléphone pour que je vienne, au bout d’un moment, j’avais craqué et j’avais fini par dire d’accord ! Nul doute que c’était aussi ce qu’il s’était passé pour Jillian. Pour que nos parents puissent nous voir, il fallait vraiment qu’ils insistent.
Maintenant que nous étions à table, j’espérais que ça allait très vite se terminer histoire que je puisse rentrer chez moi et essayé d’oublier un peu tout ça parce que ça faisait toujours parti de mes pires souvenirs ! Et puis il y avait le petit frère aussi avec sa tête d’adolescent abruti… Mon dieu, il n’y en avait pas un seul qui avait l’air normal quoi ! C’était à gerber presque. D’ailleurs, Jill semblait plus près que moi à vomir étant donné le léger teint verdâtre qu’elle abordait. Je la comprenais ! C’était dur de ne pas la comprendre d’ailleurs ! Je lui passais le saladier et frôlais les doigts de ma chère demi-sœur qui me fusilla du regard. Pour toute réponse, je lui offris un sourire bien à moi avant de faire comme si de rien n’était.
Les parents engagèrent une conversation presque entre eux. J’écoutais vaguement ce qui se disait, hochant la tête de temps en temps histoire de faire semblant d’être intéressé. A un moment, le petit frère se mit à raconter sa petite vie de lycéen peu intéressante. Du coin de l’œil, je vis Jill se baisser pour ramasser je ne sais quoi qu’elle avait fait tomber, mais je n’y prêtais pas plus d’attention jusqu’à sentir sa main sur sa cuisse, remontant jusqu’au haut de ma cuisse. Je me crispais légèrement sur place, en restant comme un abruti avec ma fourchette en l’air. Heureusement que je n’avais pas ouvert la bouche parce que sinon, j’aurais eu vraiment l’air encore plus con !
Enfin, Jill voulait jouer et ça, c’était excellent ça ! Un demi-sourire se dessina sur mes lèvres mais je rapportais mon attention sur les gens qu’il y avait autour de la table et le beau-père avait mis les pieds dans le plat en demandant si Jill était toujours serveuse. Ca y est, ça allait tourner vinaigre. Le petit frère me regarda et je lui fis un signe de tête pour lui dire de laisser tomber. Bah ouais, même si je le détestais, je ne pouvais pas trop lui en vouloir. Il était con, mais ce n’était pas sa faute. M’enfin bon, je ne dis rien en attendant que ma charmante petite sœur finisse de péter son câble sur ma mère.
L’ambiance était électrique, il n’y avait pas à dire ! Notre petit frère venait de faire des siennes et Jill le remit à sa place rapidement. Décidemment… il fallait croire qu’on était pas les seuls à être inspiré par de l’inceste. Enfin, sauf que Jill et moi, ça n’en était pas vraiment puisque nous n’avions pas de sang en commun. Par contre, le p’tit mioche… Beh si, il en avait ! Dire qu’il ne retiendrait jamais rien cet abruti ! Pourtant, c’était pas faute de l’avoir mal traité depuis le début cet enfant ! M’enfin bon, il fallait croire qu’il ne retiendrait jamais la moindre leçon… Dans ce cas, j’étais désolé pour lui, mais il allait vite se faire insulter ! En attendant, ma mère avait décidé de me questionner sur mon boulot. Je répondis vaguement, mais ma mère essayait d’en savoir beaucoup plus. Ca allait vite me gonfler !
- Oui, ça va bien ! Autre chose ? répondis-je.
M’enfin, il n’y avait pas grand-chose d’autre à dire de toute façon. Je n’allais pas leur faire un cours sur ce que c’était d’être notaire quand même ? Le jour où ils auraient besoin d’un notaire, ils avaient du souci à se faire parce que ça voulait dire qu’ils auraient les huissiers aux fesses ! Mais enfin… Ma mère ne chercha pas à en savoir plus et c’était tant mieux ! Je ne demandais rien d’autre. C’était dingue comment elle pouvait se faire moins insistante quand il s’agissait de moi. Ca, je ne le comprendrais jamais. Jill n’avait pas autant de chance, décidemment. Il fallait dire aussi que nous étions mal lotis avec des parents comme les notres.
Le beau-père se leva et alla chercher le plat puisqu’on avait terminé l’entrée. J’avais presque envie de lui dire d’aller plus vite, mais je me retins. On allait éviter ! Je restais donc le plus calme possible, même si c’était assez dur de ne pas se lever et d’aller chercher le plat moi-même. Bref, en attendant, je m’avachis sur ma chaise et posais une main sur la cuisse de Jill et la caressais nonchalamment tout en remontant vers l’intérieur de ses cuisses. Ma mère était trop occupée dans sa conversation avec le petit frère pour qu’ils voient quoi que ce soit, donc autant passer le temps intelligemment, non ?
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Lun 3 Juin - 18:31
aaah … faire semblant de faire tomber une serviette pour oups caresser la jambe de son demi-frère qui a tenté de vous chercher, c’est juste jouissif … non sérieusement. J’étais à ses côtés et d’ordinaire j’aurais vomi pour l’être bien que … paradoxalement, je le fais. M’enfin. Je regardais les vieux qui ont commencé par me poser des questions quant à mon métier de serveuse. Alalala s’ils savaient ce que je faisais d’autre. En attendant, ils ont bien cherché le fait que je venais de leur rentrer dedans comme pas possible. J’en avais vraiment marre de leur connerie. Mon père baissa la tête, sans rien dire, il demanda même à sa femme, cette mocheté) de ne pas s’en mêler. Alors, la conversation s’en suivit vers Ethan qui les remballa de la même manière. Le repas continua à avoir cette ambiance électrique. Mon père finit par aller dans la cuisine pour chercher la suite du repas, vite dépêche j’ai envie de me barrer ! Enfin, je restais là à révasser lorsque je sentis une main sur ma cuisse. Je déglutis et regarde Ethan … que je fusille du regard. Ce con a vraiment envie de me rendre dingue, franchement. De plus, je sentis un pied sur mon tibia. Je fronce les sourcils, croyant que c’est Ethan, je l’interroge du regard mais comprend rapidement que ce n’est pas lui, alors, je tourne soudainement ma tête vers l’autre abruti et BAM lui défonce la jambe
« C’est ma jambe connard ! – Jillian, ton langage ! - Mais … vas te faire foutre sale conne … ton putain de fils me fais du pied ! Tu t’fous d’moi ou quoi ! Bordel, j’essaie d’être civilisée dès le début et faut qu’on m’emmerde ! J’en ai ras le bol, j’me casse
J’étais vraiment en rogne je me lève bruyamment de table, mon père arrive et me demande de rester. Je lui fais simplement un fuck, prends mes affaires, mets mes chaussures à talons et sors de cette maison où j’hurle comme une folle un grand : « MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERDE », avant de marcher comme une furie. Je braillais, j’en avais vraiment pleins le cul de toute cette connerie. Mais l’énervement passe et je me calme tout doucement. Je plonge ma main dans le sac, chope un briquet et mon paquet de clope. J’étais calme, enfin presque, mais je n’avais plus envie d’une chose : le sexe. Surtout avec Ethan. J’espère que cet abruti de chien galleux allait pas me pourchasser pour me foutre dans son coffre et me violer au coin d’une ruelle, il en serait capable alors, en fumant quelques lattes, j’accélère le pas et espère rentrer chez moi au plus vite
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Jeu 13 Juin - 17:56
Par moment, je résistais à l’envie de regarder ma montre pour savoir dans combien de temps est-ce que ce repas pourri prendrait fin. Sauf que j’étais limite trop poli pour ça alors j’évitais. Non pas que je cherchais à me faire bien voir, il ne fallait pas trop abuser non plus. Mais quand même. Un petit minimum de distinction, même si c’était dur. Très dur en fait ! Mais je tenais bon, parce qu’il fallait bien et parce que ce n’était pas souvent. HEUREUSEMENT ! Parce que c’était vraiment un coup à devenir fou, là ! Entre les parents qui continuaient de faire comme si tout allait bien, le marmot qui voulait se la jouer cool alors qu’il donnait presque envie de pleurer tellement il était débile… Pour le coup, Jill et moi étions vraiment très mal lotis. On rêvait mieux comme famille, mais bon. On avait appris à se suffire à nous même.
Etant donné que nous étions totalement contre ce repas familial et qu’on se faisait plus que chier, il fallait bien trouver de quoi s’occuper et Jill et moi avions un jeu vraiment plus qu’intéressant de mis au point. Enfin, on ne s’était jamais concerté à ce propos, mais on s’amusait plutôt pas mal en fait. Moi je m’éclatais en tout cas et même si elle me balançait des regards noirs qui auraient pu tuer quelqu’un sur place si elle avait eu des fusils dans ses prunelles, elle était rentrée dans mon jeu. L’air de rien, j’avais fini par poser une main sur sa cuisse. J’avais profité que les vieux soient partis en cuisine pour le faire. Il y avait toujours le petit frère, mais on pouvait lui brandir une carotte sous le nez qu’il ne s’en rendrait même pas compte, donc je ne m’en occupais pas plus que ça.
Je faisais glisser ma main vers l’intérieur de sa cuisse avec un air innocent, quand je sentis que quelque chose ne tournait pas rond. D’un même mouvement, Jill et moi nous fixâmes. Nous n’eûmes pas besoin de nous dire quoi que ce soit que le message était passé comme une lettre à la poste. On était pas du même sang, mais parfois, nous n’avions pas besoin d’échanger de paroles pour se comprendre. C’était comme ça, je ne l’expliquais malheureusement pas. Et si on devait avoir des explications à fournir à chaque fois qu’on faisait un truc, on ne s’en sortirait jamais ! Bref, toujours était-il que le petit frère faisait à nouveau des siennes. Comme d’hab, je laissais Jill agir elle-même. Ce n’était pas à moi qu’il faisait du pied. De plus, elle n’avait pas besoin de moi pour s’en sortir toute seule.
Et là, ce fut l’éclatement. Après une insulte bien envoyé, le retour de ma mère dans la salle à manger. J’avais laissé retomber ma main, posée sur la cuisse de Jill et faisais comme si tout allait bien de mon côté. Je croisais les doigts et m’adossais un peu plus confortablement sur la chaise. C’était le quotidien quand on venait ici alors pourquoi est-ce que j’aurais l’air affolé ? A force, on avait l’habitude. En deux temps, trois mouvements, Jill sortit de la maison. VEINARDE ! La voix de Jill se fit entendre dans la rue. Cri de libération et de rage en même temps. J’attrapais mon verre de vin pour boire un coup pendant que ma mère pestait auprès du père de Jill. En attendant, je fixais mon jeune frère, même si ça me faisait mal de le penser. Quand celui-ci capta mon regard, il baissa la tête. Mais je continuais de le regarder et plus les secondes passaient, plus il se tassait sur sa chaise. C’était à croire que j’avais pouvoir psychique ! Je terminais mon verre et le reposais sur la table.
- Bon, ce fut fort sympathique, mais comme le repas est gâché, j’vois pas pourquoi je resterais. J’ai du boulot qui m’attend, moi !
Et ça allait prendre un certain temps ! Je me levais et me dirigeais vers la porte d’entrée tout en attrapant mon blouson que j’enfilais avant de passer la porte et la refermer derrière moi. Ah le bon air frais ! Ca m’avait limite manqué ! Et puis une fois dehors, il n’y avait plus cette oppression qui régnait à l’intérieur. Je comprenais que Jill se soit mise à crier comme une échappée de l’asile. D’ailleurs, elle était où la frangine ? Je remis correctement mon blouson et marchais jusqu’à la rue où j’avais garé ma voiture pour grimper dedans. Mission n°1 : trouver Jill. Je me doutais un peu qu’elle avait pris la direction de chez elle alors du coup, ce fut dans cette direction que je me dirigeais. Je roulais tranquillement, sans chercher à me presser. A bord de la voiture, je ne pouvais que la rattraper facilement.
Rapidement, je la retrouvais alors qu’elle avançait d’un pas rapide. J’eus absolument tout le loisir de la reluquer par derrière. Quoi ? J’y pouvais rien si la frangine c’était un fantasme sur pied ! Bon, parce que je n’allais pas la suivre comme ça jusqu’à chez elle, j’accélérais légèrement pour arriver à sa hauteur. J’avais déjà baissé ma fenêtre et bras posé sur le rebord, je réduisis l’allure pour rouler à sa vitesse de marche.
- Je te dépose quelque part ? J’ai fait le plein hier soir, je peux même t’emmener à 300 bornes d’ici si tu le désires. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Jeu 4 Juil - 16:17
e venais de partir de la maison de mon vioc et sa femme et leur fils dégueulasse. j'étais écoeurée d'avoir senti sa jambe de gros pervers et de voir mon vioc et sa conne le défendre, ça m'a encore plus tué ! Donc s'ils savaient qu'Ethan et moi baisons, je pense qu'il n'y a pas trop de soucis non ? Enfin bref, que voulez vous que je dise ? Je ne peux rien faire, ni dire quoi que se soit, puisqu'ils aiment me foutre la vie en l'air, ils aiment me faire chier. Enfin bref. Je marchai comme une folle, direction chez moi, j'allais peut être appeler un mec pour me le taper et oublier l'affront que je venais de subir. C'est alors qu'une voiture déboula à mes côtés, je ne pris pas la peine de regarder, je savais que c'était Ethan. Il me parla, mais j'étais trop énervée pour me calmer ou accepter son offre
« Vas chier avec ton essence, je veux pas être dans ta caisse, je veux rentrer chez moi, donc fous moi la paix »
Je suis mauvaise sur le moment, je voulais clairement l'envoyer chier et qu'il me laisse tranquille, mais le connaissant, il va insister et je sens que ça va partir en couille ... dans tous les sens du terme. peut être que c'est ce que je veux, j'en sais rien. En attendant, j'espère juste que mon putain de pouvoir à la con va pas foutre sa merde, comme avec Asher qui m'avait sauté sur mon lieu de boulot et avec qui j'avais explosé toutes les boissons du bar, je peux vous assurer que c'était la vraie merde et depuis, à part avoir couché avec Hunter, j'évite tout contact, ça fou les boules quand on sait qu'on a des capacités qui débarquent dans votre vie sans prévenir et avec quoi on ne peut pas contrôler
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Dim 14 Juil - 18:40
J’avais vraiment pensé que Jill était une veinarde d’être partie de la maison des vieux aussi rapidement. Sauf que je l’avais rapidement imité parce que c’était elle qui avait raison dans l’histoire. On était bien mieux loin de la maison des vieux ! Quelque part, il fallait vraiment remercier notre petit frère commun pour lui avoir fait péter un plomb et donc offert une corde de sortie. Du coup, après avoir fini mon verre de vin, parce que je n’allais pas gâcher, je pris mon manteau et quittais la maison familiale après avoir sorti une magnifique phrase qui puait le foutage de gueule à plein nez. Une fois dehors, je ne repérais la frangine nulle part. C’était qu’elle marchait vite la p’tite !
Je grimpais en voiture pour essayer de la retrouver. Bah quoi ? Je n’allais pas la laisser rentrer à pied, quand même ! Ce que je pouvais être gentleman moi, quand l’idée me prenait. C’était vrai, quoi ! J’aurais très bien pu tirer tout droit jusqu’à chez moi et la laisser se démerder. Mais non, j’allais la chercher ! Et puis, elle ne pouvait pas être bien loin. Rappelons-nous qu’elle était à pied et que j’étais sortie de chez les vieux juste quelques instants après elle, donc elle devait être dans le coin. Quand je la trouvais, elle marchait d’un pas énergétique qui lui faisait bouger ses fesses de façon très excitante. Du coup, je restais un peu derrière elle, juste histoire de mater un peu parce que je n’allais pas faire comme si je n’avais rien vu puis je vins me mettre à sa hauteur.
Je lui offrais de l’emmener à l’endroit où elle le souhaitait sans poser la moindre question. Je lui fis même comprendre que comme j’avais fait le plein, je pouvais aller à 300 km donc si elle avait une destination de 300 km, je pouvais l’emmener aussi, si ça lui faisait plaisir. Sauf que je me fis envoyer chier de la plus magnifique des façons. Mais au lieu de m’en offusquer, je souris de toutes mes dents. J’aimais bien quand Jill était d’humeur massacrante, c’était toujours très drôle à voir et elle ne s’en rendait même pas compte ! Quoi qu’en fait, elle devait bien le savoir que quand elle m’envoyait chier comme ça, ça m’incitait toujours à continuer à l’embêter. C’était comme ça depuis le début, alors elle devrait bien être habituée maintenant.
- Prem’s, c’est pas une essence, ensuite, j’peux te ramener chez toi quand même, même si c’est pas à 300 bornes mais à quinze de minutes de marche d’ici !
Je continuais de la suivre en roulant tranquillement avec mon grand sourire encore aux lèvres. Je pouvais rester comme ça pendant un bon moment. Si elle ne le savait pas encore, j’étais très têtu donc… Et puis, j’avais fait le plein d’essence aussi, donc elle était vraiment mal barrée ! Mais je ne la plaignais pas pour autant. Elle allait bien finir par rentrer dans la voiture, peu importe le moyen que j’utiliserai pour y arriver. Il y avait toujours moyen de parvenir à ses fins.
- Aller chérie, arrêtes de faire ta mauvaise tête et grimpes ! Y’a plus qu’toi et moi !
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Jeu 22 Aoû - 20:00
on pervers de frère avait décidé de me suivre. Je grognais, l'envoyant boulet, mais bon, il était persuasif et il savait que j'allais cède quoi qu'il se passe, quoi qu'il arrive. J'essayais quand même de vouloir le faire dégager avec des raisons un peu débiles, mais bon, Ethan restait là. Je soupire et m'arrête, le regardant de travers. Il était chiant, mais bon, je l'aimais bien quand même. Nous sommes tous deux pareils. On ne supporte pas notre propre famille, enfin, on se supporte juste lui et moi, même si parfois, on se fracasse la tête, mais au final, on termine au lit, donc je pense qu'il y a un truc de drôle entre nous. On se déteste, on s'aime et on sexe ! Voila notre résumé de lien familial totalement tordu. Je me suis donc arrêtée, le regardant, soupirant, je décide de monter dans la voiture, me jetant sur le siège, m'attachant et laissant ma tête se poser sur le dossier. Ma tête se tourne vers lui
« On va où tu veux, tant que c'est pas de nouveau chez ces tarés avec l'autre dégueulasse … »
Lui dis je en soupirant. J'aurais voulu faire plus que lui avoir péter le genoux. Je le détestais ce Killian, vraiment, j'aurais même voulu qu'il claque avant ou même après sa naissance. Une fois que mon pervers de frère roula une nouvelle fois, je décidais de croiser mes jambes, laissant paraître mes fines jambes à l’œil vicieux d'Ethan. J'avais envie de le provoquer. Je faisais comme si de rien était et regardais la route passer devant les yeux. Ethan et moi, c'était le jour et la nuit, on s'entendait vraiment bien. Et mal aussi. Quand je pense que notre relation a commencé quand on s'est rencontré, qu'une attirance sexuelle a finit par se finir en « viol » consentant juste après qu'il ait débarqué dans ma chambre. Il a pensé me faire peur, que j'allais hurler et me débattre, mais je me suis laissée faire, dans un rire, écartant mes jambes et appréciant ce désir, ce fantasme que j'avais toujours eu. Je souris intérieurement et regarde finalement Ethan
« Pourquoi a-t-on une famille aussi débile ? On pouvait pas naître ailleurs sérieusement ? »
Je soupire, j'ai toujours du mal à me dire que mon père se tape cette mocheté et que cette mocheté ait pu engendrer un mec aussi hot que Ethan … on dirait qu'on a été adopté ou une connerie du genre, c'est vraiment du n'importe quoi toute cette histoire. J'aurais tellement voulu partir d'ici, mais mon vioc avait ses soucis de santés et moi, dans un élan d'amour avec ce vieux con, je suis revenue. Et le remerciement ? Bah dans l'os hein puisque ce vieux con préfère me voir dépresisve et dans cette ville de merde qu'ailleurs et heureuse … alors fuck, si un jour il sait que je me tape Ethan, se serait très drôle tien
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Ven 30 Aoû - 9:26
Je savais bien que je n’étais pas la personne que Jill souhaitait voir en ce moment même, mais je m’en foutais totalement ! J’étais bien décidé à la suivre là où elle avait envie d’aller. Comme je lui avais fait remarquer, j’avais fait le plein, donc elle s’épuiserait sans aucun doute avant moi. Bah ouais, l’avantage d’être assis n’était pas négligeable, bien évidemment. Du coup, elle pouvait m’envoyer chier autant qu’elle le souhaitait, elle allait finir par craquer. D’ailleurs, je n’avais pas ma langue dans ma poche puisque je répondais facilement à chacune de ses petites attaques en la contrant. Sauf que si elle, elle mettait du cœur dans ses paroles, moi j’y mettais de l’amusement. Si elle pensait me faire mal, bien sur, c’était raté !
Jill ne mettait jamais à très longtemps à changer d’idée. Du coup, quand je lui fis quand même remarqué que j’étais seul et qu’il n’y avait plus que nous deux. Donc pourquoi continuer nos petites méchancetés ? Bon, en fait, on continuait tout le temps parce qu’on ne savait pas faire autre chose, mis à part se sauter dessus pour passer un moment torride. Ca on savait même plus que faire. Enfin bref, un sourire victorieux se dessina sur mes lèvres quand elle s’arrêta pour me regarder avec tout le mépris possible qu’elle éprouvait pour moi. Depuis le temps, cela ne m’impressionnait absolument plus, mais parfois, je lui laissais croire le contraire. Devrais-je lui dire ? Oh non ! Ca m’amusait de la voir essayer de m’impressionner.
Je n’ajoutais absolument rien, continuant de la regarder. Finalement, elle capitula et avec un soupire, elle grimpa à côté de moi sur le siège passager. Mon sourire s’élargit quand elle déclara que je pouvais l’emmener là où je voulais. De toute façon, je ne comptais pas retourner dans cette maison au moins pas avant l’année prochaine, voir même plus loin. Honnêtement, je ne savais toujours pas pourquoi est-ce qu’ils continuaient de vouloir organiser ses repas qui terminaient toujours en fiasco total. Une fois la demoiselle correctement installée, je démarrais et me mis à rouler un peu plus rapidement que 10km/h. Oh bien sur, je respectais aussi les limitations de vitesse. Je n’avais pas envie de me faire arrêter par les flics avec une aussi jolie nana juste à côté. Je n’étais pas fou !
Tout comme elle, je ne supportais pas le marmot que les deux avaient mis au monde. Je détestais l’idée que nos deux familles avaient quelque chose en commun de plus qu’un mariage. Puis sérieusement, il avait de gros souci psychologique, c’était clair ! Il n’était pas normal cet enfant. En même temps, avec les deux parents qu’on avait, c’était normal qu’il soit abruti. J’essayais de me concentrer sur la route, mais avec Jill qui croisait ses jambes et qui laissait les entrevoir, bah ça attirait les regards et pour le coup le mien. Il y aurait eu quelqu’un d’autre qui aurait regardé, je lui aurais pété le nez. Bref, j’essayais vraiment de me concentrer sur la route et quand je réussis à le faire, Jill prit à nouveau la parole.
- Et ça aurait changé quoi, si on n’avait pas eu ces parents là ? Ah si attend, on s’connaitrait peut-être pas. Mais on va s’plaindre sur ce principe là parce que malgré tout, toi et moi, on n’a pas un brin de sang en commun.
Et puis ma mère n’avait pas toujours été comme ça. Avant, avec mon père, c’était cool, elle était normale, mais quand il était mort, elle avait changé et s’était mise beaucoup trop rapidement en couple avec le père de Jill. Ce qui me paraissait évident qu’elle trompait mon père depuis un petit moment. Cela n’avait pas été compliqué à comprendre parce que si à l’époque, elle avait cru que je n’étais qu’un petit garçon trop petit pour faire le calcule, et bien elle s’était lourdement trompée. J’avais toujours été très loin d’être bête, mais ça elle ne l’avait jamais compris. Sauf que le calcul avait été très vite fait dans ma tête et depuis toutes ces années, ça m’était resté au travers de la gorge.
Tranquillement, je roulais en direction du lac. C’était le premier endroit qui m’était venu à l’esprit. Là-bas, c’était tranquille, puis on pourrait peut-être changer un peu d’air au passage. On était toujours trop confiné au beau milieu des maisons donc du coup, autant se perdre un peu dans la nature. Je bifurquais dans la rue qui menait au abord de la ville et pris la direction du lac.
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Sam 28 Sep - 21:43
erde. J’étais faible. Je venais de monter dans sa voiture et il venait de me faire capituler, c’était réellement chiant. Il était doué pour ça, me faire capituler pour tout et n’importe quoi, j’étais sa chose. S’il savait ce que j’étais réellement, je ne sais pas du tout comment il réagirait. Mais avec lui, c’est comme si j’étais sa chose. Je n’étais pas sa pute puisqu’il ne me payait pas … enfin si, en nature, mais là n’est pas la question. J’étais avec lui dans la voiture et nous allons quelque part dont j’ignore la destination. Qu’on se casse, de toute façon, quoi qu’il arrive, faut qu’on revienne dans cette ville maudite. Je n’ai rien dit par rapport à sa remarque, ne répondant qu’avec un haussement d’épaule. Ouais, s’il le dit. Je n’en sais foutrement rien et je m’en fiche pas mal. Je croise les bras et finalement Ethan décida de notre destination. Nous sommes là pour être pépère. Je le regarde, me doutant de ce qu’il veuille faire
« J’croyais qu’on se cassait de cette ville moisie, faudrait savoir ce que tu veux espèce de porc »
Sur ce, je suis sortie de sa voiture, cependant, je m’en allais pas très loin, je regardais le lac, je n’y étais jamais venue auparavant, même après autant d’années à vivre ici. Je soupire, je n’étais que bonne à ça, mon destin était d’écarter mes jambes, me faire baiser puis payer et paf c’est tout. Je secoue la tête, ouais bah en attendant j’aime ça. Ça me permet d’oublier ma malédiction, de plus, il y avait de l’eau là, donc ça ne me plaisait pas du tout … vraiment pas. Je me souviens d’Asher, à cause de nos ébats, j’avais foutu un bordel monstre dans les vestiaires où étaient entreposées les boissons alcoolisées et j’peux vous dire que la plupart des bouteilles ont éclatées. Il m’a juste fallu coucher avec le boss pour qu’il ne prenne rien sur le compte d’Asher, ni sur le mien. Je regardais Ethan, je n’avais pas envie d’être avec lui, ni être avec ma stupide famille et mon stupide peur qui sert à rien, soit dit en passant
« Si tu ne vois pas d’inconvénient, je vais rentrer, vraiment et à pied. J’ai pas envie d’être ici, près de ce foutu lac »
Je m’apprêtant donc à partir. Je savais que c’était peine perdue, mais tant pis, j’essaye. Je me casse, j’attends de voir comment il va réagir, ce qu’il va me faire si je le défis en me tirant de là, juste voir s’il allait le faire … me retenir. Il allait le faire, je le sais. Je m’éloigne un peu plus de lui. Il va le faire, il ne m’a pas emmené ici pour rien. Bon ok j’avoue ça m’excite, mais merde j’avais pas envie de relation sexuelle hein, faut pas non plus abuser, il a eu mon cul il y a peu alors qu’il me laisse tranquille maintenant …
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Lun 14 Oct - 9:58
Euh… Techniquement j’avais simplement dit que je pouvais faire au moins trois cent kilomètres avec mon plein d’essence, pas que j’allais l’emmener à trois cents bornes. Et puis, Jill ne m’avait pas donné de destination, elle m’avait dit de faire comme je voulais. Elle était bien gentille la frangine, mais moi je n’avais pas d’idée précise d’endroit où aller. Si elle en avait une meilleure, pourquoi est-ce qu’elle ne faisait pas partager ? On aurait gagné du temps. Je levais les yeux au ciel quand elle quitta à nouveau la voiture. Qu’est-ce qu’elle pouvait être chiante ma parole ! Une vraie nana ! Il fallait toujours qu’elle chercher la complication. Du coup, je coupais le contact et sortis à mon tour de la voiture. Elle s’était plantée face au lac. Je ne m’approchais pas vraiment d’elle. Marre de lui courir tout le temps après.
- Tu sais que t’es pète noix un peu ? J’te demande où tu veux aller et t’es pas foutue de me donner une destination. Alors moi, je choisis, voilà. Si t’est pas contente, t’as qu’à ouvrir ta grande bouche, ça ne devrait pas être trop dur pour toi de le faire, t’as l’habitude !
Puis même, c’était impossible de se barrer d’ici, même avec la meilleure volonté du monde, il y aurait toujours quelque chose qui nous ramènerait ici. Dans deux jours, dans cinquante ans, peu importait, c’était ici que la plupart des habitants crevait. Dingue quand même, hein ? Même après mes études j’étais revenu ici alors que n’importe qui serait parti très loin de chez lui pour entamer une nouvelle vie. Mais moi, j’étais revenu et je travaillais dans le coin. C’était nul, mais il y avait une espèce attraction qui émanait de cette ville. Bref, là n’était pas le problème. Jill était entrain de péter un plomb et de me faire payer sa mauvaise humeur. Techniquement, je n’ai rien fait, moi. Je lui ai offert une occasion d’aller voir ailleurs, mais elle n’a pas voulu. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même.
- C’est ça, cours chez toi. Tu y seras peut-être avant demain matin, sauf si tu écartes les jambes, peut-être quelqu’un te prendra en auto-stop !
Sérieux, j’avais l’impression de perdre mon temps avec cette fille, mais je n’y pouvais rien, non seulement c’était ma « sœur » et j’étais lié à elle, quoi qu’il advienne, même si nous n’avions pas une relation très esthétique, ni dans la norme. Je devrais l’aimer comme une sœur, mais c’était impossible. A mes yeux, elle ne l’était pas. Elle était bien plus. Il y avait un truc qui m’attachait à elle, hormis le fait qu’on passait des instants torrides dès que l’occasion se présentait. Bref, elle m’énervait quand elle était comme ça. Elle m’énervait et elle m’excitait parce que c’était tellement bandant de la voir sortir de ses gonds. Elle n’imaginait même pas le pouvoir qu’elle exerçait sur moi.
- Bordel de merde, Jill, tu veux quoi exactement ?! Te barrer d’ici ? J’suis prêt à te suivre, surtout si c’est loin des vieux. Et après ?
Jillian M. Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Sam 2 Nov - 16:20
e regardais mon demi frère, on commençait réellement à se prendre la tête et il me gavait sérieusement là à faire son chef, oui je fais ma diva mais j’ai quand même une bonne raison bordel ! Oui je sais que je suis chiante à pas avoir dit où qu’on allait, mais en même temps, je réfléchissais quand même à un endroit adéquate, mais qu’est ce qu’il me gonfle ce connard ! Sans dire un mot je me barre, je me barre tellement que ça lui casse les couilles et qui me beugle dessus. Il n’a que ça à foutre ce con de me gueuler dessus. Je soupire et hurle en tapant du pied lorsque je me retourne et m’avance vers lui menaçante tout en le pointant du doigt avant de le tapoter au torse
« Tu vas fermer ta putain de gueule t’es pas dans ma tête pauvre con ! »
Je soupire. Cette merde c’est à s’arracher les cheveux. C’est alors que je sens bouillonner en moi une colère si profonde que ça me fou à terre en un rien de temps, je suis à genoux et je sens ce « pouvoir » en moi qui ne demande qu’à sortir. Je serre les dents, me sentais impuissante. Il fallait que ça s’arrête, il fallait que ça se stoppe, mais je ne peux rien y faire, c’est comme ça et puis c’est tout. J’ai des capacités aquatiques que je refuse et ça me bouffe de l’intérieur
« Non … bordel … ça recommence … Raaah … Dégages … éloignes toi de moi ! »
Je me relève avec difficultés, refusant son aide, le rejetant aussi et me rapproche du lac où l’eau se met à bouger dans tous les sens, je n’arrivais pas à contrôler tout ça, c’était fou, c’est alors que sans crier gare, mon bras guide l’eau, un jet se forme … merde faut pas que ça aille sur Ethan … je ne veux pas le blesser, je serre les dents et comme dans un hurlement de douleur, je me laisse jeter à terre et l’eau se jette sur moi comme si quelque chose l’avait arrêtée sur l’instant même. Je tremble, je reprends mes esprits, trempée par l’eau glacée, je voulais rentrer ou non, je voulais qu’Ethan vienne me prendre dans ses bras. Doucement, ma tête se tourna et mes yeux se posèrent sur Ethan
« Je suis désolée … je t’en supplie … ne le dis à personne … je peux faire tout ce que tu veux mais … ne le dis à personne … j’t’en pris … »
Je me sentais minable, angoissée, je détestais cette part en moi
Ethan A. M-Parker
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill] Mar 12 Nov - 14:43
Jill et moi, on s’engueulait tout le temps. C’était comme ça, on ne savait pas faire autrement, c’était plus fort que nous. Il fallait que l’un prenne le dessus de l’autre et c’était une joute constante. Quand on aurait 80 balais, on serait encore entrain de s’engueuler et peut-être entrain de s’envoyer nos dentiers dans la figure. Je pensais sincèrement qu’on s’aimait autant qu’on se détestait. C’était ainsi et ce n’était pas prêt de s’arrêter. Allez savoir pourquoi, la vie avait décidé que se serait ainsi et pas autrement. Nous n’aurions pas d’autres choix que de l’accepter. Sauf que parfois, elle poussait vraiment mémé dans les orties. Je voulais bien être gentil, j’étais prêt à faire 300 bornes, voir plus pour l’emmener loin d’ici, mais elle m’avait pas répondu, elle m’avait rien dit à propos de l’endroit où elle voulait aller, du coup, j’avais pris une décision et ça ne lui convenait pas et elle trouvait le moyen de râler.
Franchement, parfois, trop c’était trop du coup, après qu’elle ait ouvert sa grande bouche et décrété qu’elle rentrait à pied, je n’avais pas pu m’empêcher de lui dire ce que je pensais d’elle. Bon, c’était le même refrain tout le temps, mais ce n’était pas grave. Parfois, il fallait lui rafraichir la mémoire pour qu’elle imprime dans sa petite tête de piaf. Bref, en gueulant tout autant qu’elle, je lui exposais la situation et lui fis comprendre qu’elle n’avait qu’à parler au lieu de donner le libre arbitre aux gens pour ensuite faire sa petite diva et son caprice. Absolument rien ne nous attachait à cette ville alors pourquoi est-ce qu’on moisissait ici ? C’était une excellente question. Moi-même j’adorerai le comprendre, sauf que personne n’était foutu de me répondre donc du coup, il fallait faire avec cette non-réponse.
Bref, mes paroles avaient eu l’effet voulu parce que Jill avait effectué un magnifique demi-tour pour essayer de m’impressionner, mais je ne bougeais pas d’un pouce. Niveau force, tout le monde savait que j’avais le dessus sur elle. Je ne doutais pas qu’elle pouvait y mettre de la force quand elle voulait, mais par rapport à un homme, une femme serait toujours moins puissante. N’y voyez absolument aucune pensée machiste, c’était ainsi depuis toujours. Bien sur je parlais de gens lambda. Face à une catcheuse, je n’avais aucune chance. Mais Jill était loin d’être une femme d’un mètre quatre-vingt pesant cent kilos de muscles.
- Dieu merci, parce que ça doit être tellement vide que j’aurais peur de me perdre dedans, répliquais-je.
Franchement, on offrait un pitoyable spectacle. Peut-être qu’on ne valait pas mieux que nos parents pour le coup, mais cette fille-là, elle m’énervait. A chaque fois, elle disait ou faisais le truc qui saoulait et qui faisait péter des câbles. Je n’ignorais pas qu’elle pensait la même chose de moi. C’était une sérieuse réciproque. Alors que je croyais qu’elle allait répliquer quelque chose, comme elle avait l’habitude de faire, je la vis s’écrouler juste en face de moi, atterrissant ainsi à genoux. J’eus un léger bug d’une ou deux secondes avant de réagir et de m’agenouiller face à elle pour voir ce qui lui arrivait. Ben ouais, même si elle me gonflait et qu’elle me donnait envie de l’étrangler, je tenais un peu à elle. Je posais une main sur son épaule. Je ne comprenais absolument rien à ce qu’elle disait. Qu’est-ce qui recommençait ? Je m’apprêtais à le lui demander avant de me faire jeter comme un mal propre.
Voilà ce qu’on gagnait quand on essayait d’être sympa et d’aider. Tandis que je me relevais, Jill faisait de même. J’essayais plusieurs fois de l’aider à se relever, mais à chaque fois, elle me repoussait. Quelle gamine ! Je la regardais se diriger vers le lac sans vraiment comprendre ce qu’elle voulait faire. Elle allait se suicider ou quoi ?! Non parce qu’il y avait d’autres moyens pour mettre fin à ses jours et la noyade, c’était vraiment le truc qui marchait très peu de fois puisque nous avions tous un instinct de survie qui demandait à sauver sa peau à chaque fois. Enfin je m’apprêtais à la suivre pour lui demander ce qui lui arrivait parce que je ne comprenais absolument rien à ce qu’elle voulait dire et encore moins à ce qui lui arrivait. Je ne fis qu’un seul et malheureux pas dans sa direction quand l’eau se mit à faire des trucs totalement fous si bien que je restais bloqué et totalement ahuri. Je ne comprenais absolument rien et je ne songeais même pas à m’en aller quand un jet d’eau avait menacé de se fracasser sur moi avant d’aller mourir en plein sur Jill.
De toute ma vie, je n’avais jamais eu un bug aussi énorme que celui-ci. La bouche légèrement ouverte, les yeux écarquillés, je regardais Jill qui se trouvait à terre, trempée de haut en bas. Absolument rien n’avait été épargné. Rien du tout. Je ne bougeais toujours pas quand elle tourna sa tête vers moi pour s’excuser, me suppliant aussi de ne rien dire à personne. Wow, sérieusement ? Jill était infectée ! Depuis quand ? Depuis combien de temps Jill était-elle comme ça ? Je n’en savais rien. Je m’accordais quand même quelques secondes avant de réagir parce que c’était vraiment énorme comme nouvelle. C’était même totalement dingue ! Jamais je n’aurais cru que Jill faisait parti de ce genre de personnes. Des personnes que la plupart essayaient de fuir. Serais-je capable de grimper dans ma voiture et de me tirer comme ces gens-là ? J’avais passé une grande partie de ma vie avec Jill, alors pourquoi est-ce que je me barrerai ?
Je m’approchais de ma sœur qui n’avait pas bougé d’un pouce depuis. Je retirais ma veste et la posais sur ses épaules pour la couvrir. Je m’agenouillais à ses côtés avant de la prendre dans mes bras. Franchement, si elle croyait qu’un jour, elle me ferait flipper, elle se trompait, mais je devais bien avouer que je n’étais pas totalement remis de ce que je venais d’apprendre. Je caressais ses cheveux mouillés avant de relever sa tête vers moi et de déposer un baiser sur son front.
- A qui veux-tu que je le dise ? demandais-je. Tu me vois le crier sous tous les toits ? Autant dire à tout le monde qu’on fait de « l’inceste » tant qu’on y est.
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Sujet: Re: Repas familial et plus si affinité [pv Jill]