AHREN ▽ On est rentré par le même chemin mais dans l'autre sens.

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→ Eli Ahren Hooper.

22 ans; né le 28/04 à New-Orléans, Louisiane; caissier; strangers.

“ I know you're sinking deeper, every breath a straining gasp. ”

Regarde-le, avec sa bouille d’enfant heureux. Toujours joyeux. Comme s’il fallait sourire à la vie. Un peu rêveur, peut-être. Innocent. C’est qu’il n’aurait pas l’air mauvais, quand il tend tendrement le paquet de yaourts à cette mamie. Un agneau. Qui tombe facilement dans le panneau. C’est qu’il serait serviable, en plus. On pourrait presque croire que les gens l’apprécient. Presque. C’est drôle. Et pourtant, quand tu oses t’approcher un peu plus de lui, tu te rends compte, qu’au fond de ses yeux meurtris, se cachent toutes les peines du monde. C’est qu’il est un peu timide, le garçon. Il ne sort pas tellement. Un peu taciturne. C’est qu’ils l’effraient un peu, les gens. Il ne semble pas très à l’aise avec eux, la plupart du temps. Même s’il essaye de faire des efforts, parfois. On ne sait jamais ce qu’ils pourraient lui faire, après tout. Sa peluche semble bien plus sécuritaire, elle. Au moins, elle ne lui fera jamais de mal. Il est un peu sauvage, ce garçon. Renfermé sur lui-même. En même temps, il n’a jamais dû tellement s’ouvrir. Trop effrayé. Il cherche tellement à ne surtout pas déplaire. Il n’aspire qu’à un peu de tranquillité, après tout. Et puis, parfois, il y a ces moments où ses yeux se glacent. Comme si cette timide personnalité renfermait un monstre sans réelle pitiée. Survient alors un brin de volonté. Celle de ne pas se laisser abattre. De faire preuve de sang-froid. Capacité à ne pas paniquer. A ne surtout pas s’affoler. C’est qu’il serait capable de n’importe quoi. D’être un chouilla impulsif. Violent. Comme s’il voulait, une bonne fois pour toute, chasser toute l’horreur du monde. Les monstruosités que son père a pu lui infliger. Il déteste tellement la méchanceté. Mais ça ne l’empêche pas de l’être pour autant. C’est peut-être pour ça, qu’il n’ose pas sortir. On ne sait jamais ce qu’il pourrait arriver, dehors ...

→ Quel est votre sentiment vis-à-vis des habitants de Caswell et sur la ville en général ? Je crois qu’ils ne sont pas si mauvais que ça. Enfin pas tous. Comme partout. Il suffit d’être gentil avec eux. C’est tout. Puis bon, Papa était d’ici, quand même. Et puis même si je ne suis pas né ici, j’y vis depuis que j’ai cinq ans alors … Je ne vois pas pourquoi ils voudraient me faire du mal parce que je ne suis pas d’ici. A part peut-être pour se moquer de moi, parce que je suis trop timide et maladroit. Mais pour ça, je ne pense pas qu’on ait besoin de venir jusqu’ici pour que ça m’arrive …

→ Que pensez-vous du conseil municipal et de son action ? Ils font ce qu’ils peuvent. J’imagine que ce n’est pas forcément très facile de gérer une ville. Surtout celle-ci. Quelque part, c’est normal qu’ils nous étouffent autant. Qu’ils nous surveillent. Ils ne veulent que notre bien, non ? Ils ont probablement raison. Je n’ai pas envie de me mêler à tout ça, de toute façon. Et puis d’ailleurs, ils essayent de tout faire, de tout gérer. Aussi bien la justice que l’économie. Ce n’est peut-être pas étonnant qu’ils galèrent un peu. Surtout avec ce qu’il se passe en ce moment. On ne peut pas les blâmer, non plus.

→ Que pensez-vous des récents événements ? Croyez-vous en toutes ces rumeurs surnaturelles ? Autant dire que ce n’est pas de chance. Après, de là à dire qu’une attaque de vampires nous guette … Il ne faut peut-être pas exagérer. C’est comme pour la fin du monde. Au final, on fait tout un bordel pour pas grand-chose. D’ailleurs, je ne pense pas qu’on avait besoin de toute cette publicité. Ça énerve les gens d’ici. Ils se sentent épiés, on dirait. Je ne pense pas que c’était une bonne idée. Enfin bon, c’est sympa de voir des gens d’ailleurs, aussi. Ils ont toujours plein de trucs à raconter.

→ Avez-vous un secret vous concernant à nous révéler ? Non. Je n’ai rien à cacher. C’est juste que les gens ne cherchent pas à me connaître. En même temps, ce n’est pas comme si je cherchais à aller vers eux non plus. Puis, au final, ce n’est pas plus mal comme ça. Ça m’effraie un peu, quand on me pose des questions. Surtout sur Papa. Mais au final, ce que j’ai raconté à plutôt bien passé. C’était suffisamment vraisemblable pour que l’on me croie, j’imagine. Et ce n’est pas plus mal comme ça. Peut-être qu’ils me puniraient s’ils apprenaient ce qui s’était réellement passé. Mais ce n’est pas de ma faute. Ce n’était qu’un accident.

→ Avez-vous été témoin dans la ville de choses que vous aimeriez dénoncer ? Je ne vois pas pourquoi je devrais dénoncer les gens. On m’embête déjà suffisamment. Ce n’est pas la peine que je m’attire des ennuis par-dessus. Puis je n’ai jamais voulu faire d’histoire. Ni en avoir avec ceux d’ici. On n’a pas besoin de ça. Ils n’ont pas besoin de ça. Ça ne sert à rien de se tirer comme ça entre les pattes. Ni même d’encourager cette animosité qui nous anime les uns les autres. Il y a tellement mieux à faire.

→ Vous êtes pris dans un cyclone. Des débris sont tombés sur la personne qui vous est la plus chère et sur un enfant que vous ne connaissez pas. Si vous la sauvez cette personne vivra avec un handicap terrible mais l’enfant mourra. Si vous sauvez l’enfant il sera indemne mais l’autre mourra. Vous ne pouvez en sauver qu’un, alors que faites-vous ? Je pense que je sauverais l’enfant. Parce que même si je serais triste d’avoir perdu un être cher, lui sera heureux. Puis les enfants représentent l’avenir. Peut-être qu’il me remerciera, même. Et de toute façon, peut-être que mon ami me remerciera aussi. Après tout, finir dans un fauteuil, à ne plus pouvoir bouger un membre ne ressemble pas à une vie. Puis il ne pourra pas m’en vouloir, tout de même … J’aurais fait ce que j’avais pu. Ce n’est pas comme si je me montrais égoïste. J’essaye juste de faire ce que je pense bien. Ou ce qui me semble le mieux pour la situation …

“ tell the world I'm coming home ”

Papa m’a encore frappé, aujourd’hui. Parce que j’avais perdu quelques-uns de mes cheveux dans la salle de bain. Je ne l’ai pas fait exprès. Je ne peux pas contrôler ça. C’est à cause des nœuds, avec la brosse. Puis quand il me les frotte pour les sécher. Il le sait aussi bien que moi. Mais, quand je le lui ai dit, ça l’a encore plus énervé. Il m’a tapé. Lui aussi, il perd ses cheveux, pourtant. Mais ça, je ne lui ai pas dit. Il m’aurait cogné encore plus, sinon. Il n’aime pas qu’on le contredise. Et moi, je n’aime pas lorsqu’il me frappe. Mais je ne l’ai pas fait exprès, de laisser mes cheveux dans la salle de bain, tout de même. J’ai mal. Et maman n’est pas là pour me consoler. C’est ça, le pire.

Toutes les mamans vont au supermarché. Je suis sûr que je pourrais l’y trouver. Je voudrais tellement la revoir, ma maman. Je murmure son prénom entre mes larmes, serrant mon nin-nin contre moi. « Maman … Mamaaaaan … » J’ai erré dans les rayons jusqu’à ce qu’une dame me prenne et me ramène à la caisse. Elle m’a demandé mon prénom. Je le lui ai donné, parce qu’elle avait l’air gentille. « Ahren … » Elle m’a sourie, et m’a porté sur un siège en plastique. Je l’ai regardée, tandis qu’elle se dirigeait vers le micro. « Le petit Ahren attend sa maman à la caisse. » J’ai glissé mon pouce dans ma bouche, et j’ai remonté mon nin-nin vers moi. Et j’ai attendu. Longtemps. Maman n’est pas venue me chercher. Finalement, la dame m’a demandé mon nom de famille, en me disant qu’elle allait téléphoner à ma maman. Je le lui ai donné, confiant. C’est Papa qui est venu me chercher. Quand je l’ai vu, je me suis mis à pleurer. « T’avais dit que t’appellerais ma mamaaaaan ! » ais-je réussi à renifler. « Elle est partie, ta mère, idiot. » Il m’a pris, m’a posé sur son épaule sans trop de délicatesse, et est parti, adressant à peine un merci à la caissière. Il allait me punir, j’en étais sûr. Après tout, je n’aurais pas dû essayer de partir retrouver Maman. Mais je n’avais pas vraiment l’intention de le laisser, non plus. Je voulais juste voir Maman, un peu. Ce n’était pas plus compliqué que ça. Il n’avait pas vraiment de raison pour m’en vouloir, n’est-ce pas ?

Mes pieds pendaient le long de la digue en pierre. Les dalles froides me gelaient les fesses. Je pensais à Maman. Mes doigts seraient entre eux la peluche kangourou qu’elle m’avait offerte lorsqu’elle était partie. Il ne ressemblait plus à grand-chose, le pauvre. Il avait quelque peu perdu ses formes et ses couleurs. En même temps, je le trainais partout. J’avais tellement peur que Papa me le prenne. Il disait que ces choses-là n’étaient plus de mon âge. Je n’arrivais pas à dormir sans. Je n’arrivais pas à m’en séparer du tout. Il me fait penser à Maman. J’aimerais aller là voir. Là-bas. Je crois qu’elle est retournée en Australie, quand elle a quitté Papa. Mais je n’en suis pas très sûr. Il ne veut pas que je la contacte. Il ne me parle pas beaucoup d’elle, non plus. Sauf pour dire que c’est une salope. Une connasse, aussi. Et plein d’autres choses dans le même genre encore. Mais je suis sûr ce que n’est pas vrai. Je crois qu’ils se sont rencontrés quand Papa était encore routier. Mais ça ne veut pas dire que Maman est une pute. Elle est partie quand Papa a perdu son travail, et qu’il a commencé à boire. J’aurais beaucoup aimé qu’elle m’emmène avec elle. Mais elle ne l’a pas fait, je ne sais pas pourquoi. Cependant, elle a toujours été très gentille avec moi. Elle avait des longs cheveux bruns, des traits fins, délicats, et elle s’habillait très bien. C’est tout ce dont je me souviens, concernant son physique. J’ai oublié le son de sa voix. J’aimerais tellement la revoir.

Lorsque j’ai entendu le bruit, j’ai rangé précipitamment ma peluche dans la poche intérieure de ma veste. Je n’ai même pas eu le temps de me retourner que déjà sa main agrippait le col de mon manteau. « Qu’est-ce que tu fais là ? » qu’il me lance, agressif. Il sentait l’alcool. J’ai tourné la tête vers lui. « Je regardais la mer … » Il n’a rien dit, mais, il m’a levé, sauvagement. J’ai gémi, avant d’esquisser quelques pas. « A la maison. » Je n’ai pas protesté. Parce qu’il était déjà énervé. J’ai trébuché sur un pavé un peu plus surélevé que les autres. Et je suis tombé. Je me suis fait mal. Quand je me suis relevé, Papa m’a retourné, et il m’a foutu une claque. Je me suis mis à chialer. Parce que je n’avais rien fait de mal. J’étais juste tombé. Je crois que ça l’a énervé, alors j’ai arrêté. Quand on est rentré, il m’a encore giflé. J’ai serré les lèvres, bien décidé à ne pas pleurer. « Pourquoi tu fais ça ? » Il n’a pas répondu. Il m’a juste frappé sur l’autre joue. J’y ai porté ma main, les larmes aux yeux. « Parce que Maman t’as .. » Le coup qu’il m’a donné m’a envoyé à terre. J’ai gémi. Il m’a encore frappé. Il n’allait pas bien. On n’aurait jamais dû me laisser avec lui. « Tu veux voir ce qu’elle m’a fait, ta chienne de mère ?! » « C’est pas une chienne ! » Je n’avais jamais osé aller aussi loin. C’était comme si, d’un coup, j’implosais. Je refusais qu’il parle d’elle ainsi. Il m’a donné un coup de pied dans les côtes. Je me suis plié en deux, en gémissant. Elle était belle, la résistance. Il m’a plaqué contre un mur, et il a baissé mon pantalon. J’ai cru qu’il allait me donner des coups de ceinture. Tout simplement. Au lieu de ça, il a baissé son pantalon, lui aussi. J’ai gémi de terreur en sentant son membre contre mes fesses. « Papa … Arrête … » Il ne s’est pas arrêté. J’ai senti son souffle alcoolisé contre mon cou. « Tu veux voir ce que ça fait, d’être aussi pute que ta mère ? » Je n’ai pas eu le temps de m’échapper. Il est entré en moi, sauvagement. J’ai hurlé sous la douleur. Il a envoyé ma tête cogner le mur. J’ai entendu mon nez craquer. Je me suis mis à pleurer, un peu assommé. Puis j’ai essayé de me débattre. Parce qu’il ne pouvait pas me faire ça, n’est-ce pas ? Il m’a donné un coup, pour que j’arrête, et il a continué son affaire. « Papa … » ais-je sangloté.

J’ai jeté son corps par-dessus bord. Avec un peu de chance, il ne remonterait jamais. Je lui ai à peine jeté un regard, et je me suis empressé de ramer vers la rive. C’était un accident. J’ai passé mon doigt sur le bleu de ma joue, en grimaçant. Il avait encore essayé de me faire du mal. De se vider dans mon pauvre corps. J’avais essayé de me débattre. Il était complètement bourré. Je l’ai poussé, il a reculé, il a glissé, et sa tête a cogné le rebord de la table. Ça s’est passé très vite. Trop vite. J’ai entendu un crac. J’ai pas trop su si s’était lui ou la table en bois, mais il s’est étalé sur le sol. Inanimé. C’était un accident. Je me défendais juste. Je n’avais jamais voulu le tuer. Je voulais juste qu’il me laisse tranquille. Je ne pouvais pas le garder ici, non plus. Ça allait se savoir, et ils allaient venir me mettre en prison. Papa disait toujours que si je me plaignais, ils allaient venir me mettre en prison. Alors que je n’avais rien fait de mal. Je crois qu’il y avait une grosse part de mensonges dans ce qu’il disait. Alors, je l’ai enroulé dans une couverture, et je l’ai attaché à une grosse pierre, que je suis allé chercher dans le jardin. J’ai rangé un peu la maison, pour cacher les traces de notre bataille. Rien ne s’était passé. Et j’ai mis mon père dans la voiture. J’ai roulé doucement, les phares éteints. Parce que je ne voulais pas que l’on me voit. Je l’ai sorti, ensuite, et je l’ai mis dans une barque. Je ne savais même pas à qui elle appartenait. Mais ça n’avait pas d’importance. Et je suis parti, avec lui. Pour aller le jeter au fond de la mer. J’ai pensé que j’aurais pu aller rejoindre Maman. Mais probablement que cette barque ne tiendrait pas jusqu’à là-bas. Alors, je suis rentré. Je me suis dépêché. Il ne fallait pas que les pêcheurs me voient. Surtout pas. S’ils me posent des questions, je dirais qu’il était bourré, et qu’il m’avait frappé. Et que je m’étais évanoui. Et que, quand je m’étais réveillé, il était parti. Et qu’il n’était jamais rentré. Ce n’était pas complètement faux, de toute manière. Ce n’était pas comme si je mentais. Il y avait une part de vérité. Ce n’était pas de ma faute. C’était juste un accident.

→ Bad.Blood

J’ai un pote qu’on appelle pedobear, ça m’a perturbé. Quand je dis « on », c’est pas moi. *paf* Puis sinon, je réponds au doux prénom d’Anaïs, et j’ai seize ans. Trop bien. Sinan, je vis en Bretagne. Là-bas, les vaches sont noires, et mesurent un mètre quinze au garrot. Autant dire que c’est des géantes. Nan, mais je ne voudrais pas paraître mauvaise langue, y’en a des grandes, aussi. Puis c’est sympa, la région, là-bas. J’aime bien leurs plantes, elles sont jolies. ‘fin bon. J’ai découvert Homecoming par un partenariat, et j’ai plutôt bien accroché. Très bien, même. Même si j’ai pas l’habitude de jouer dans le surnaturel. J’évite, même. Mais j’sais pas, y’a un truc qui m’a intriguée, chez vous. Alors je me suis dit qu’il fallait que je vienne. Puis voilà, j’suis venue.

J'adore ton histoire omg

Bienvenue beau mâle hinn

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Bienvenue sur le forum sexy boy :p
Bonne chance pour ta fiche !

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J'aime trop ton histoiiiiiiiire !
J'te souhaite du bon courage pour ta fiche et bienvenue à Caswell !

Invité Invité

God, ton histoire... C'est tellement bien écrit que ça passe tout seul, même le passage le plus difficile à lire. I love you

Bon courage pour la suite.
Et bienvenue, surtout. What a Face

J'ai pas lu l'histoire, juste ta présentation, et ça m'a fait rire What a Face

MYGOD oui XDDD
Au moins je peux me dire que je suis plus grande que les vaches de chez toi What a Face

Han on n'a pas mal de points communs au niveau de nos personnages : Va nous falloir un lien : woohoo:

Puis je ne connais pas ton avatar, mais je l'aime déjà. Je le dévore en entier même : face:
En tout cas bienvenu et bon chance pour le reste de ta fiche ;)

Invité Invité

Merci beaucoup, puis vos commentaires sont supers gentils ! brill

Blue-Ivy ▽ Ahah, on trouve toujours plus petit que soi. *paf*

Trajan ▽ Merci !

Puis je te garde une petite place, bien au chaud, rien que pour toi. ;)

Han oui

Une place dans ton lit j'espère ? lit

* retourne se cacher *

Invité Invité

Ben oui, dans mon lit. saalut

Et ça recommence déjà à se promettre des bébés. Alalala qu'est-ce que je vais faire de vous ?
Bienvenue Ahren ! Joli prénom, super région, fabuleux personnage ! Content de voir que tu ais craqué pour notre mystère :hiin:

Invité Invité

Bienvenue jolie garçon!:D

Invité Invité

Merci !

Asher ▽ Faut bien peupler la terre. *sbaff*

J'ai besoin d'un gros câlin tout de suite nop

C'est poignant et ta manière de le raconter est vraiment douce pour tant de violence je trouve. Tu as bien retranscrit l'innocence de ton personnage brisé. I like it !

TU ES VALIDÉ !

Encore une fois bienvenue à toi ! L'équipe administrative te souhaite de vivre une expérience des plus intéressantes sur le forum. Tu peux les contacter pour tout problèmes, pour une question, ou pour le plaisir, si tu as envie de les embêter. Aussi, tu peux voir sur le coté une barre de navigation; ce sont les points importants que tout nouveau membre doit effectuer. Sache que tout le forum t'es maintenant ouvert. Tu peux dès à présent poster ta fiche de liens, de téléphone, d'historiques et partir à la recherche d'un rp. Un administrateur t'ajoutera vite à ton groupe, ton rang te sera donné ainsi qu'une jolie couleur ! Au plaisir de te croiser sur le flood ou bien sur la chatbox !

AHREN ▽ On est rentré par le même chemin mais dans l'autre sens. 1351807238-sans-titre-1

Invité Invité

On peut s'arranger ! brill

En tout cas, merci beaucoup !

date d'arrivée : 01/11/2012 mensonges : 621 crédits : Judasnana âge : 26 ans

Bienvenue parmi nous I love you

J'ai beaucoup aimé ta fiche ! J'espère que tu t'amusera bien sur HC. yeah

Invité Invité

Merci beaucoup ! ♥

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