Ϟ ASH - « I bet the neighbours know my name. »

ASHER WEIR-MALONE

JACKASS

MOTHERFUCKER

FREELANCER

TRASH

FECKLESS

Asher Weir. Pourquoi vous emmerder à le retenir alors que je ne serais qu’un passant dans votre vie. Tout au plus le héros de rumeurs peu glorieuses qui animeront vos petites sauteries entre voisins. Au mieux un résidu d’odeur de sueur sur des draps froissés et quelques mégots dans un cendrier. Je suis comme ça, je cours sans jamais m’arrêter. Il n’y a rien pour moi dans vos villes et vos maisons, il n’y a rien pour moi dans vos familles et votre confort. Je suis comme ça, j’aime vivre au jour le jour sans comptes à rendre et responsabilités. Si j’étais une fille je serais la salope du quartier qui a vu plus de manches qu’une ménagère un balais. Fort heureusement je suis un homme et ce n’est pas moi qui écarte les jambes et qui subit les doigts accusateurs de quelques coincés conservateurs. Machiste ? Probablement. Je n’ai besoin de personne et personne n’a besoin de moi. Je prends tout sans presque rien donner en retour. Je mène ma vie comme je l’entends et vous n’êtes que des étapes de ravitaillement. Je ne viens de nulle part et je ne vais nulle part. Là où le vent me porte vers un travail, quelques jours sédentaire et je repars. J’ai ma fierté et la misère choisie a forgé mon caractère. Et elle l’a forgé en mauvais. Je suis comme ça, violent pour un oui ou pour un non. Rien n’entrave mon esprit et mes mots. Rien n’entrave ce que j’ai décidé d’être. Ce que j’aime être. Je suis comme je suis. Et aucune tombe ne figera mon corps à un seul endroit.

Ϟ Vit une vie de vagabond au jour le jour depuis ses dix-neuf ans. Ϟ A traversé de long en large tout le pays et séjourné dans presque tous les états. Ϟ D'ordinaire il ne reste pas plus de six mois fixé à un seul endroit. Ϟ Sa vie tient dans une malle à l'arrière de son pick-up. Ϟ Il n'a plus aucun contact avec sa famille depuis son départ de la maison. De même qu'avec sa fille Rocket, qu'il a abandonnée dès sa naissance. Ϟ Est proprement marginal, vulgaire, violent et irresponsable. Ϟ Se considère comme un rebut de la société et en est fier. Paradoxalement il est cultivé, forgé par les voyages et la vision crue du monde. Mais il déteste trahir un semblant d'intelligence. L'intelligence c'est pour les nerds. Ϟ Adore regarder les chaînes documentaires comme National Geographic. Ϟ Son livre préféré est "L'attrape Coeur" de J. D. Salinger car il se reconnait dans l'histoire du héros. Ϟ Est allergique à la technologie et n'y comprends pas grand chose. Son téléphone portable est un dinosaure. Ϟ A trempé dans l'addiction à la drogue il y à plus de dix ans mais ce ne fut qu'une passade. Ϟ A été violemment passé à tabacs par Samwell Hootkins à cette période car celui-ci le tient responsable de la mort de sa soeur avec qui il sortait. Ϟ N'aime pas qu'on lui donne des ordres ou être dépendant de qui que ce soit. Ϟ A mis un type dans le coma pendant une semaine suite à une bagarre de bar et a fait quelques mois de prison pour ça. Il a aussi été sanctionné pour ivresse, insultes et violence. Son casier judiciaire est donc loin d'être vierge. Ϟ Fume, bois et copule quotidiennement. Ϟ Il a très souvent la maturité et l'humour d'un gamin de douze ans. Ϟ Vit de petits boulots et se fiche de l'argent. Ϟ S'est installé depuis un peu plus d'un an dans un appartement miteux sur les docks. Est arrivé à Caswell depuis déjà deux ans. Ϟ Est l'amant de Dylan depuis aussi longtemps. Elle est la seule raison qui le pousse à rester. Ϟ Nourrit l'ambition secrète d'acheter un bateau ou de partir visiter l'Europe. Mais il aurait du mal à abandonner son pick-up aka son précieux. Ϟ Possède pas moins de neuf tatouages sur tout le corps, de même que plusieurs cicatrices provenant principalement de bagarres. Ϟ Ne sait pas ce que signifie manger cinq fruits et légumes par jour. Ϟ Ne supporte pas rester enfermé. Ϟ N'aime pas les enfants et les animaux. Ϟ Prend un malin plaisir à tourner la religion en dérision et à briser le politiquement correct.

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PRETTIES

DYLAN ROSENWOOD LOVER TO LOVER Si on m'avait dit y'a deux ans que j'allais en prendre pour si long, j'y aurais pas cru. C'est que c'est pas mon genre de rester plus de six mois au même endroit. Encore moins de coucher plus de deux fois avec la même nana. Si encore c'était que ça entre nous, mais même pas. Une rencontre tout ce qu'il y a de plus banal pourtant : un bar miteux que j'avais l'habitude de fréquenter, une soirée avec les gars comme on en faisait tous les mardis. Le genre de soirée où je préfère déconner et boire plutôt que sortit le grand jeu et chasser mon quatre heure. Mais quand je l'ai vue au comptoir, les yeux rougis à s'enfiler des vodkas, j'ai pas pu m'empêcher de m'approcher pour lui en offrir une autre. Au début elle m'a sauté dessus pour noyer son dépit, se venger de son connard de maris comme je l'ai compris plus tard. C'était juste un coup d'un soir. Mais très vite y'a eut une seconde fois, puis une troisième. Et nous voilà. Deux ans plus tard. Avec la routine du "on va chez toi ou on va chez moi ?" à chaque fois que son maris pars au travail ou en pseudo voyage d'affaire. On se confie, on se fait des coups de putes, on se prend dans des coins ou on commande des box au chinois qu'on bouffe devant un vieux film. Avant même qu'on s'en rende compte on s'est installés dans une routine passionnelle. Avant même que je m'en rende compte, j'crois que je l'apprécie un petit peu trop. J'sais pas ce qui me retient de me casser de ce patelin de merde. J'ai essayé, j'ai essayé putain. A chaque fois je me suis retrouvé dans mon pick-up, mes affaires emballées... et devant chez elle. Putain d'merde.	ROCKET HALLOWELL I HAD A KID ANND IT'S GONE Je crois que j'ai une fille. Du moins il me semble. Quand j'essaie d'y penser j'ai à peine la vision d'un obus rose et braillard dans les bras d'une jolie brune. Rocket. Ouais, ça ressemblait à une rocket avec des cheveux. Une rocket qui allait exploser dans mon petit monde et détruire mes rêves de liberté. Rocket... J'crois que c'est l'mot que j'ai écrit sur le papier que m'a tendu l'infirmière. Ouais, y m'semble que j'ai une gamine. Si elle est pas morte d'ailleurs. Ils disent qu'il y a toujours des pourcentages de chances d'attraper des maladies infantiles pour les nouveaux-nés. Alors si ça s'trouve, p't'être bien que j'en ai plus de gamine. Qui sait ? Certainement pas moi. Elle aurait quoi ? Dans les dix-sept ans ? C'est un putain d'âge de merde ça. Dix-neuf ans aussi c'était un âge de merde. Surtout pour se retrouver avec une Rocket sur les bras. Bah, si elle vit quelque part, j'lui souhaite deux choses. D'être aussi jolie que sa mère et de ne jamais croiser ma route.
OFFICER OAKENS FUCK YOU WITH A STICK IRON BITCH Si j’ai pu avoir encore le fantasme de la fliquette en uniforme, gémissante, écrasée entre moi et le pare-chocs de mon pick-up on va dire que ça m’est très vite passé depuis que je connais Oakens. Cette histoire c’est tout d’abord celle de la monstrueuse cuite du vingtième anniversaire de Travis. Le genre d’occasions pour lesquelles je demande au barman de ne pas lésiner sur les cocktails chelous, où on va fêter ça au Pole Dance Club en bordure de la ville et où je prévois toujours de protéger les sièges de ma bagnole pour le retour. Just in case. Mais on est pas arrivés jusque-là. Quelques minutes d’inattention dans le décolleté d’une strip-teaseuse et Travis se fait chopper par une patrouille pour ivresse sur la voie publique. Damnit Travis. Tu pouvais pas aller pisser ailleurs que sur le bord de la départementale ? C’est donc impuissant que j’ai regardé les flics l’embarquer. Mais j’allais pas laisser un homme dont c’était l’anniversaire dans une merde pareille. On abandonne pas son bro ainsi. Alors j’suis allé au commissariat à pieds. Oui. A pieds. Asher Weir ne se risque jamais à planter sa caisse dans le décor quand son sang s’appelle Whisky. Avec la distance forcément, j’suis arrivé non seulement alcoolisé mais un peu énervé au poste. C’est Oakens qui était de garde. J’ai voulu la jouer fine en proposant de payer la caution de Travis, mais cette salope est à cheval sur les règles comme trois blondes sur un tabouret retourné. Et comme j’ai commencé à essayer de lui expliquer que j’emmerdais les connards de flics comme elle, elle m’a foutu en cellule de dégrisement rejoindre Travis. Malheureusement pour elle c’est là que la vraie fête a commencée. Beuglements, chansons et bruits obscènes, coups contre les barreaux en métal… C’est fou ce qu’on sait être créatifs à deux dans un espace réduit. J’suis certain que la petite iron bitch d’Oakens se souviendra encore longtemps de cette soirée de garde. Quand je la croise il m’arrive de lui crier « Viens me passer les menottes Oakens, j’aime ça. » C’est un jeu que j’ai instauré entre nous. Voir jusqu’où elle pourra résister sans me coller une balle.	CHARLIE LIKE ONE OF YOUR FRENCH CARS Un arbre. Un putain d’arbre tombé sur ma caisse à cause de la tempête d’Halloween. Voilà comment j’ai connu Charlie. A vrai dire, j’la connais pas vraiment. Et d’ailleurs quand j’ai entendu l’un des mecs du garage l’appeler depuis l’atelier, j’m’attendais à voir un gros barbu en salopette débarquer. Charlie. C’est pas un prénom pour une jolie petite asiatique ça. Et puis c’est quoi ce garage ? Depuis quand y’a des nanas capable de réparer des voitures ? Depuis quand, qui que ce soit serait digne de mettre ses mains dans le moteur de mon pick-up ? Mais j’ai laissé faire, j’avais pas le choix, les réparations nécessitaient plus que mon huile de coude et ma clé à molette. Alors je l’ai observée, je l’ai veillée de loin démembrer mon bébé. Autant de fois que j’ai pu je me suis planté face à l’atelier pour être sûr qu’elle ne lui faisait pas du mal. C’était même pas histoire de m’rincer l’œil ou d’me moquer, même pas. J’en dormais mal la nuit à savoir ce qu’elle allait lui faire. A force que je vienne la harceler – ou par simple conscience professionnelle – elle m’a refilé son numéro de portable. Et au bout d’une semaine et demi, j’ai pu récupérer ma caisse. Comme neuve. Pas croyable. Qui aurait cru que ce petit bout d’chinoise était capable de faire des miracles pareils ? Nan, y’a un truc là-dessous. J’suis sûr que c’est un travestit, un transsexuel thaï. Ça peut être que ça. Elle est bonne comme tout et j’arrive même pas à la reluquer sans trouver ça bizarre. Nan, y’a un truc qui cloche. J’la respecte. Comme j’respecterais un autre dude. J’pourrais la remercier indéfiniment d’avoir remis ma caisse sur ses roues. Son numéro traine toujours dans mon répertoire, faudrait que je l’invite un de ces soirs. Juste comme ça. Il se passera rien de toute manière. Non. Non. J’ai trop peur qu’elle soit vraiment thaïlandaise et qu’avant elle s’appelait Roger ; d’avoir des surprises en mettant ma main dans sa culotte.
STALKER GIRL WTF IS WRONG WITH YOU ?! C’est quoi ton problème à toi ? T’es adepte du cuir où ce genre de conneries ? T’aimes te maquiller au sang et aux hématomes ? Qu’est-ce que t’as à chercher la merde constamment ? Et c’est quoi cette manie de me coller tout le temps en réclamant à moitié que je te carre mon poing dans la tronche ? J’répugne pas à taper les donzelles quand elles le méritent ou quand elles se croient malignes, mais toi c’est carrément un niveau au-dessus. T’es folle, t’es complétement tarée. Un coup tu fais ta mignonnette innocente, un coup tu te transforme en camionneur. J’me sens poursuivit dès que je te croise. T’es venue jusqu’au chantier où j’travaille faire ton cinéma parce que l’boss voulait pas donner de travail à une nana. J’ai l’impression que c’est une mission que tu t’es donnée, me faire chier. Si j’respectais pas un minimum ton audace à chercher à rembarrer les plus costauds que toi, j’répondrais plus souvent à tes piques et tes tentatives que je ne le fais déjà et ça finirait mal. T’es vraiment bizarre, j’arrive pas à savoir si tu cherches quelque chose ou si t’es simplement échappée de l’asile. Tu m'intrigues parfois, mais putain arrête de me stalker, j’me sens violé que tu veuilles autant que j’te cogne. C’est pas possible, c’est une maladie. J’aurais jamais cru dire ça à une nana, mais putain, laisse-moi tranquille.	JILLIAN PARKER I'LL TEAR OFF YOUR CLOTHES AGAIN Jillian, c’est mon petit plaisir coupable. Le jeu de celui qui donnera le plus faim à l’autre. On s’est longtemps tournés autour avant d’enfin pouvoir passer à l’acte dans les circonstances les plus excitantes qui soient. J’aurais de bons souvenirs de la réserve de ce bar et de notre petite partie brutale contre la porte si ça ne s’était pas terminé aussi…bizarrement ? J'ai dragué pas mal de catins de bars mais je savais qu’y’avait un truc différent avec elle, mon instinct sonnait les warnings depuis le début. Mais non, faut toujours que je tente le diable et que je cède devant un décolleté et une invitation bien placée. C’est elle qui m’a bouffé au final. Si j’ai parfois repensé à cette histoire de bouteilles qui explosent en rythme avec ses cris, j’essaie d’occulter ce détail. D’oublier que je me suis retrouvé le cul dans une marre d’alcool, l’artillerie sortie sans comprendre ce qu’il venait de m’arriver. J’ai aucune explication rationnelle à ce qu’il s’est passé entre nous au-delà de notre plaisir mutuel. J’me dit que chaque nana est différente face à l’orgasme, mais là je dois dire que c’était vraiment très différent. J’avais sûrement trop bu et elle s’est barrée avant que j’ai le temps de lui demander quoi que ce soit. Et si j’ai eu des emmerdes dans ce bar et avec les locaux, ça valait le coup. Elle valait de le tirer. Je me demande si son frère apprécierait de savoir ça, ou si Dylan a aimé ma petite vengeance. Car avec ce grabuge, aucun doute que c’est arrivé jusqu’à ses oreilles et celles de tout Caswell.
NURSE CLARKE CHECK MY PAIN. PLEASE ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	JAY KRAVITZ U MAD SWEETIE ? Cette gamine et moi, ça commencé avec un pari à la con, accepté parce que j’étais bien trop bourré pour me rendre compte des détails. Fuckin Travis et ses idées de merde ! Je ne sais même plus comment, mais je me suis retrouvé à entrer par effraction dans cet espèce de grande maison. « Les propriétaires sont tous partis, y’a personne. » qu’ils m’avaient dit cette bande d’enfoirés. « T’as juste à entrer et te prendre en photo avec des fringues à la con. » On fait pas mieux comme putain de gage. Mais qu’est-ce qui m’a pris sérieux ? Ce genre de plans sont amenés à foirer dès le début. Ça va bien au-delà d’un retour de karma. Alors je me suis retrouvé dans une chambre de fille, à fouiller dans ses tiroirs à culottes à moitié à poil. A moitié bourré. Et ce qui devait arriver est arrivé, je me suis retrouvé nez à nez avec cette putain de gamine. Elle m’a regardé comme une biche dans les phares d’une voiture, incapable de faire quoi que ce soit. J’crois que j’ai eu la même réaction jusqu’à ce que l’un de nous deux ne se décide à bouger. J’ignore encore comment j’ai réussis à ramasser mes affaires et me barrer sans me casser la gueule dans les escaliers. J’crois bien que c’était la première fois que je carrais mon poing dans la gueule de Travis après coup. Si encore ça s’était arrêté là, mais non, il a fallu qu’on se retombe dessus. C’était sans compter sur le fait que j’avais subtilisé quelque chose lui appartenant dans ma précipitation. Qui aurait cru qu’il y avait encore des minettes assez fleur bleue pour écrire sa toute vie dans un journal intime ? Quel bonne blague de lire ses petits secrets et ses pensées les plus intimes. Qu’elle s’amuse à me causer des ennuis avec ce petit malentendu et je me ferais une joie de dévoiler ses petits fantasmes de pucelle.
IRENE HARPER WE WERE INFINITE Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	ANASTASIA BROOKS A VOIR Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum
LAURYROSE A VOIR Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	FINNCHAEM A VOIR Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum

UGLIES

TRAVIS NOM I'LL CALL HIM MINI ME Qu'est-ce que je ferais sans toi mon con ? Certes si t'étais pas là j'aurais pas besoin de me prendre la tête à te dire de te casser à chaque fois que je ramène une nana à la maison, mais ma vie serait juste merdique si j'voyais pas ta gueule d'abruti tous les jours. T’es la seule personne en qui j’ai confiance dans cette ville de merde, le seul à qui j’ai aucun problème à me confier. J’crois que tout est tellement allé si simplement entre nous que j’en ai un peu oublié comment tout à commencer. J’espère que tu m’pardonnes. C’était à ton premier jour au chantier c’est ça ? J’sais plus, qu’est-ce qu’on s’en fout, nous voilà bientôt un an et demi après. Un an et demi qu’on fait les quatre cent coups et la plupart des conneries ensemble. Quand t’es là j’me sens tout de suite mieux, comme libéré. J’suis pas le genre à m’faire des potes comme toi, d’habitude j’évolue en loup solitaire. Mais j’ai tout de suite sentit qu’on se ressemblait toi et moi. C’est un truc inhabituel, que j’me sois attaché comme ça. Tu vis un peu la même merde que je me suis collé quand j’avais le même âge, c’est peut-être ça qui nous a liés au final. Tu connais le moindre de mes secrets et t’es toujours là pour faire le con et réveiller l’ambiance. Même si t’es qu’un petit con, y’a plein de choses que je ferais pour toi sans hésiter. C’est un peu comme avoir un petit frère, ou un mini moi comme dirait Dylan, mais c’est pas désagréable. Et si je sais que tu la déteste, je suis certain que vous avez une chose en commun : si j’arrive pas à me barrer de ce trou, c’est de votre faute enfoirés.	SAMWELL HOOTKINS WITH MY FIST ON YOUR FACE Au début j'ai cru halluciner. J'ai cru à tout et n'importe quoi, sauf à la vérité. Aller ça doit remonter à quand, Boston y'a dix ans ? Je pense que tous les deux on oubliera pas de sitôt cette année là. Tu sais, l'année où ta soeur est morte dans un ACCIDENT et où tu m'as refait le portrait au point de m'envoyer deux mois à l'hôpital ? T'as vraiment un sérieux problème Sam'. Et maintenant nous voilà, comme au bon vieux temps ou presque dans ce trou paumé. C'est marrant j'avais oublié que c'est de Caswell que vous étiez originaires. Mais à vrai dire maintenant ça ne m'étonnes plus. Quand on voit la foule de faux semblants qui se bouscule à l'église tous les dimanches matins. Un flic tarés et une toxico de plus ou de moins, ça se remarque à peine. Néanmoins je me serais bien passé de ta présence "brother". T'as l'air de toujours avoir un problème avec ma tronche. T'as l'air de te retenir, c'est mignon. Mais laisse-moi te dire que si jamais tu m'approche à moins de deux mètres, moi je me retiendrais pas.
THAT GUY U SEE ME ROLLIN' U HATIN' C'est quoi ton problème à toi ? En plus d'être consanguin t'es masochiste ? Mais qu'est-ce que t'as à me regarder ? Tu crois que j'en ai quelque chose à foutre que vous me voyiez tous comme un indésirable ? En attendant qui c'est qui bosse sur le chantier de la zone industrielle censée redresser votre putain de ville à la con ? T'es pas le premier à me juger, et tu seras pas l'dernier. Qu'est-ce que ça peut te faire comment je mène ma vie ? D'où tu t'permet de me fixer constamment en baissant les yeux comme un putain d'soumis sans même avoir les couilles de venir me parler qu'on règle ça entre hommes à chaque fois qu'on se croise ? Qu'est-ce que ça me ferait bander d'écraser ta petite gueule bien propre contre mon genou. C'est dingue que je l'ai pas déjà fait d'ailleurs. Après tout avec toi j'ai trouvé bien mieux. Non pas que je sois du genre à faire dans la dentelle, ça m'ressemble pas. Mais j'ai cru remarquer que plus je casse de gueules devant toi, plus j'attrape les petits culs des serveuses et plus ta face se décompose. C'est dur hein d'être impuissant ? C'est tellement fun de te narguer d'un sourire quand j'ai les mains prises. J'te fait flipper mon chou ? Attend, c'est que le début. Je saurais me donner en spectacle rien que pour voir cet air sur ton visage.	ETHAN M-PARKER I ENVY YOU AND I HATE THAT Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum
HUNTER PENDLETON I SPIT FARTHER THAN YOU BRO Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	BABY I WAS SOME KIND OF MASTER C’est vraiment pas mon genre de m’immiscer dans les affaires des autres. Pas mon genre de ramasser leurs merdes. Pourtant c’est c’que j’faisais à Augusta, y’a trois ans. Un job comme un autre, un contrat de quelques mois. Garbage man. Payé une misère, combinaison fancy moule fesse et gants obligatoires mais dans l’ensemble c’était plutôt détente. Ça me permettait de faire mon occupation préférée : observer ces petits pavillons bien propres de l’extérieur mais pourrit à l’intérieur. La vie de quartier. Mme à la fenêtre flasher ses boobs au voisin pendant que monsieur tonds la pelouse. C’est dans ce microcosme de vies entremêlées ouvertes sur la rue que je l’ai trouvé. Lors d’une tournée matinale, simplement assit dans le froid sur le trottoir. Ce gamin je l’avais déjà plus ou moins remarqué. Sortant toujours en claquant la porte, des cris le poursuivant depuis cette maison à l’angle. Une scène me ramenait indéniablement en arrière, des kilomètres et des années en arrière. C’était moi que je voyais, le cul sur le trottoir glacé. Alors je me suis intéressé à ses merdes. J’me suis un peu attaché à lui malgré moi. Je l’ai revu dans des lieux de liberté, pourtant toujours enchainé. J’ai voulu l’aider, lui dire d’envoyer tout ça à la merde. Mais il était pas décidé. Il était pas prêt. Et moi je ne reste jamais. Je ne peux pas m’attacher. « Quand t’auras claqué la porte au nez de toute cette merde, quand t’auras fait ton propre chemin gamin, on s’reverra. T’auras qu’à m’le rendre ce jour-là. » Ouais, j’me pensais pas capable de ce genre de tirade à la John Wayne. Et j’suis partit. En regardant ce gamin et ce ridicule briquet pin-up lumineux que j’venais de lui donner. J’sais pas ce qu’il est devenu, j’m’en fous un peu dans l’fond. J'crois. J'sais pas. Et merde, ça m’a touché. Quel con.
ISAIAH WOODS OK, WE'RE COOL Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	DOCTEUR BLACKS RELEASE YOURSELF DOC' Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum
IAN CLARKE YOU'RE NOT THE BOSS OF ME NOW Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	NOM PRENOM A VOIR Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum
SUICIDAL KID WTF IS WRONG WITH YOU KIDDO ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum	THAT BARTENDER SOME DUDE THAT I USED TO KNOW Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum

Un lien alors ? shift

J'ai une légère proposition à te faire : Trajan pourrait le détester à un point qu'Asher ne pourrait l'imaginer. Explication : le père de Trajan était un psychopathe avec une double personnalité cruelle qui s'en prenait tout le temps à lui. (méthode rapide) Trajan aurait très bien pu te voir foutre une raclée à un de ces mecs dans un de ses bars, te montrer un peu violant quoi. Et autant niveau physique que mentale : Asher lui ferait penser fortement à son père qu'il détestait. Mais bien sûr Asher ne saurait pas pourquoi il le déteste autant, lui penserait que Trajan est juste un de ses habitants comme les autres qui n'aiment pas les étrangers, même s'il se douterait qu'il y aurait quelque chose d'autre derrière cette haine.

T'en dis quoi ? worm

* va se cacher *

OH OUI DETESTE-MOI !

Par contre si Trajan laisse échapper un mot de travers vers Ash, l'animal il va pas le laisser intacte mdr
Donc quand tu dis qu'il éprouve de la haine envers Ash et que celui-ci pense que tu fais ça que parce que c'est un étranger, dans quelle mesure il lui a exprimé son dégout ?

Ça se verrait fortement sur son visage, son regard, peut-être même sa façon de parler avec dédain si on aurait eu une altercation ou un croisement dans une rue sombre et là Trajan t'aurait regardé comme un monstre tournant la tête au bon moment avant qu'Ash ne devient agressif. Car dans un sens Trajan aurait autant peur de toi qu'il avait peur de son père...

* retourne dans son trou *

Héhéhé me gusta !
Tant que Traj' baissera les yeux Ash sera satisfait. Mais ça aura quand même le don de l'énerver tes regards appuyés. Il déteste être jugé. Je pense que quand tu seras dans les parages il fera sa bitch et te narguera en agrippant les fesses d'une poulette par-ci et attrapant le col d'un bourré par là. What a Face

Juste histoire de te narguer et te dire "Vas-y matte bien connard, juge moi, j'en ai rien à foutre What a Face

"

Me gusta too - l'espaglish tu connais ? woohoo

Je te rajoute à ma prochaine MAJ *-*

Moi je t'ai rajouté de suite What a Face

Faut soit qu'on se fasse un RP soit qu'on définisse comment ça va évoluer What a Face

Si bien sûr tu te souviens de ce qu'on a dit What a Face

Blue tu me prends pour un sénile ? What a Face

Jay qu'est-ce que tu veux petite Hometown ? nop

De la pâte à crêpe What a Face

T'as des recherches des troucs comme ça où on y va au talent gnii

?

On y va au talent What a Face

Parce que ce que je recherche est trop sexouel pour toi :hiin:

*sort*

Oui je te prends pour un sénile nop

On peut gnutgnuter, aussi What a Face

Il aime les potites filles nop

? ( pas en pedobear hein, mais en tant que personne et tout et tout ) Enfin, il se comporte comment avec les filles de 19 ans qui écrivent des bouquins et voient le monde comme s'il était totalement beau et merveilleux ?

Invité Invité

Moi ?

T'as même le droit de me tirer les joues, si tu veux. gnii

Je veux bien hinhin

Tu as une petite idée ? Parce que je risque de pas être très gentil avec toi en fonction What a Face

Invité Invité

Coucou comment tu vas?
Un lien entre toi et moi cela te dis?

Comment ça comment je vais What a Face

?
On a pas élevé les cochons ensemble *out*

Une petite idée pour le lien ?

t'as vu comme t'as snobé Jay ? mauve

Méchant

Invité Invité

Alooooors .. What a Face

Mmmh ... Peut-être que tu pourrais lui rappeler son père, quelque part. Dans un sens, comme dans l'autre. Et, du coup, il ne saurait pas trop comment se tenir avec toi. Comment se comporter, par crainte de la réprimande. De la punition. Crainte stupide, peut-être, parce que dans le fond, t'as pas vraiment de raison pour lui en coller une. Sauf si, peut-être, il cherche à se faire pardonner des choses qu'il n'a pas fait. S'il se met à te supplier, juste pour des pardons sans raison.
Après, avec le fait d'avoir un gamin à moitié taré qui lui courrait presque après, il réagirait comment, Asher ? worm

Jay, je vais te le briser moi ton rêve de cendrillon et monde merveilleux fille haha

Arhen, mh le truc c'est que j'ai déjà quasiment le même lien avec Trajan

On peut toujours réfléchir, on trouvera bien quelque chose de cool Ϟ ASH - « I bet the neighbours know my name. » 2774444739

(Ash a le don de rappeler aux gens leur père violent psychopathe qui les as traumatisés dis-moi mauve

just saying. mauve

ans polluting your links because i'm bored mauve

)

On garde ce qu'on avait dit sur la box pour la rencontre hinhin

?

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